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Des rassemblements ont notamment eu lieu devant l’Assemblée nationale à Québec, à Rimouski et à différents endroits à Montréal.
Certains groupes, majoritairement des femmes, ont dessiné 20 silhouettes au sol «pour dénoncer le meurtre de 20 femmes au courant de l’année 2024».
«On demande beaucoup plus de mesures d’urgence, mais pour la prévention. On ne peut pas seulement réagir quand des femmes se font assassiner; il faut absolument investir dans les centres de femmes, dans celles qui sont sur terrain […]», a confié une participante d’un rassemblement à Montréal.
Les détails dans le reportage de Marie-Pier Boucher.