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«Le système a réussi à absorber une partie et à s’en occuper […], on les voit moins. [...] Nos clients nous disent que c’est déjà beaucoup moins effrayant de venir au centre-ville», a souligné Charles Maltais, copropriétaire de la boutique S3.
«Tout le monde a appris un peu à cohabiter et le sentiment de sécurité est revenu. On les voit, [les personnes en situation d’itinérance] circulent, mais les cadets et la circulation policière pour nous ont fait une grosse différence», a pour sa part mentionné Valérie Arseneault, copropriétaire de la boutique La Fabrik.
Les détails dans le reportage de Frédérica Fortin-Foster.