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Le cabinet du ministre de la Santé, Christian Dubé, a fait savoir qu’il allait surveiller de près l’application de la loi.
«Nous nous sommes engagés à agir à mieux encadrer le vapotage au Québec et c’est ce que nous allons faire comme prévu le 31 octobre. Nous allons surveiller de près l’application de la loi», peut-on lire dans une communication du ministère.
Voyez les explications d’Étienne Fortin-Gauthier dans la vidéo liée à l’article.
Les partis d’opposition ont fait écho aux propos du ministre.
«Je pense que ça fait consensus d’interdire les saveurs, a soutenu le député du Parti québécois (PQ) Joël Arseneau. J’appelle le gouvernement à sévir et à agir.»
Le chef par intérim du Parti libéral du Québec (PLQ), Marc Tanguay, et le co-porte-parole de Québec solidaire (QS), Gabriel Nadeau-Dubois, ont abondé dans le même sens.
Du côté de la Coalition pour le contrôle du tabac, on estime que le marché noir serait plutôt marginal. «C’est sûr que l’interdiction va rendre l’approvisionnement de produits aromatisés beaucoup plus difficile», a indiqué la codirectrice et porte-parole Flory Doucas.
Pour le reportage intégral, visionnez la vidéo.