Le cas de l'ingénieur Simon Houle, qui a bénéficié d'une absolution conditionnelle après avoir été reconnu coupable d'agression sexuelle et de voyeurisme, a fait beaucoup réagir.
La journaliste de Noovo Info Amélie St-Yves a tenté de rejoindre l’ingénieur afin d’obtenir sa version des faits.
Lorsque M. Houle se fait proposer de commenter la situation, il répond «qu’il n’a absolument rien à dire». Il ne tient également pas à réagir à savoir s’il estime que la décision rendue en sa faveur est «justifiable».
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Rappelons que le juge Matthieu Poliquin a tranché en faveur d’une absolution conditionnelle assortie d’une ordonnance de probation de trois ans pour M. Houle, plaidant qu’«une peine autre […] aurait un impact significatif sur sa carrière d’ingénieur» et que «cette profession nécessite de voyager à travers le monde».
Avec des informations d’Amélie St-Yves.
