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«Du travail à faire»: hausse fulgurante des interventions policières en matière de santé mentale

Les patrouilleurs sont de plus en plus souvent amenés à intervenir auprès de personne ayant des problèmes de santé mentale.

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«Du travail à faire»: hausse fulgurante des interventions policières en matière de santé mentale Les patrouilleurs sont de plus en plus souvent amenés à intervenir auprès de personnes ayant des problèmes de santé mentale.

Les patrouilleurs sont de plus en plus souvent amenés à intervenir auprès de personnes ayant des problèmes de santé mentale.

Le nombre d’appels de ce type d’intervention est en augmentation depuis les cinq dernières années.

Pour la Sûreté du Québec, il y a eu une hausse de 35%. On parle d’environ 65 000 appels par année au Québec, selon Jacques Painchaud, président de l’Association des policières et policiers provinciaux du Québec.

Plusieurs mois après le décès tragique de la policière Maureen Breau, il n’y a eu aucun changement «significatif» sur le terrain. Mais, plusieurs étapes ont été franchies afin de mieux encadrer les policiers sur le terrain.

«Il y a du travail à faire. […] Ce n’est pas parce que le travail n’est pas amorcé. On a eu des pétitions, des échanges avec le ministère de la Sécurité publique […] On a demandé un rapport d’enquête publique qui va débuter en février 2024. On a un rapport d’intervention du CNESST qui a été déposé en novembre dernier», a expliqué M. Painchaud.

Voyez son entrevue complète au bulletin Noovo Info Mauricie.