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Mais il n'y a pas que du positif. Il n’était pas inhabituel de manquer de vélo à certaines stations et d’observer des bris d’équipement.
«C’est certain qu’il n’y a pas que des côtés glorieux, parce que, oui, il y a eu un impact fort sur les opérations», a rapporté le porte-parole de BIXI, Pierre-Luc Marier, en entrevue avec l’animateur Étienne Fortin-Gauthier au bulletin Noovo Le Fil week-end.
Le service de libre-service a également été touché par un manque de pièces de remplacement pour ses vélos. Mais ils ne sont pas les seuls à avoir été touchés par cette pénurie.
«Les commerçants en ont souffert beaucoup et ça nous attriste parce qu’on ne veut pas seulement prêcher pour notre paroisse. On ne veut pas seulement que les gens fassent du BIXI. On veut que le vélo prenne», a exprimé M. Marier.
Le réseau compte actuellement 10 000 de vélos en libre-service.
Dans les dernières années, BIXI a connu des périodes plus difficiles sur le plan financier. Les bilans financiers pour la 14e saison ne sont pas encore disponibles, mais M. Marier estime que l’achalandage record est une bonne nouvelle.
BIXI est disponible sur le territoire de la Ville de Montréal ainsi qu’à Laval, Longueuil, Westmount, Ville de Mont-Royal et Montréal-Est. Mais son réseau pourrait s’agrandir dans le futur.
«On pourrait peut-être voir un réseau beaucoup plus étendu et ça amènerait beaucoup d’avantages […] on pourrait créer d’autres centres-villes, et pas seulement celui de Montréal», a estimé le porte-parole.
Voyez l’entrevue intégrale dans la vidéo.