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Il y a 15 ans, c’était le monde à l’envers. Les camps étaient rarement remplis au maximum de leur capacité. Aujourd’hui, le manque de main-d’œuvre s’explique par le fait que ceux qui seraient en âge de devenir des animateurs n’ont jamais connu les camps étant plus jeunes.
Il s’agit d’une «évolution normale», selon le conseiller en loisir communautaire au centre Durocher, Denis Jean.
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«Beaucoup d’organisations ont décidé de réduire leur capacité d’accueil ce qui fait qu’il y a des enfants dans la région de Québec qui n’auront pas accès à un camp de jour malheureusement cette année», a rapporté M. Jean.
La situation est similaire dans les camps de vacances de la Rive-Sud de Montréal.
Voyez le reportage de Phil Couture dans la vidéo.