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Questionné sur la place que prend ce Grand Prix sur la scène de la Formule 1, M. Dumontier soutient que «Montréal sert souvent d'exemple» auprès des différents acteurs du milieu. Ce dernier mentionne, entre autres, les installations du circuit comme réussite.
«Je sais que ce week-end, on va accueillir plusieurs promoteurs d'autres Grands Prix qui ont à construire de nouveaux garages. Ils se sont fait dire par la F1: “Vous devriez aller voir ceux de Montréal, on les aime beaucoup”», lance le promoteur avec le sourire. «On peut dire que Montréal est en quelque sorte une référence», ajoute-t-il.
La pollution fait partie des plus virulentes critiques faites à l’endroit de l’évènement. À cet effet, M. Dumontier rappelle que la F1 s’est donné comme but d’être carboneutre d’ici 2030. «Nous, comme promoteur, on s’est donné le même objectif», confirme François Dumontier. L’utilisation de produit en plastique «unique» est désormais interdite par la F1, une mesure suivie par les organisateurs du Grand Prix du Canada.
En ce qui concerne la prostitution, M. Dumontier rappelle qu’il milite depuis des années contre le problème et affirme qu’il allait appuyer toutes les mesures gouvernementales visant à combattre l’exploitation sexuelle.
Voyez l'entrevue complète dans la vidéo.