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Toujours inquiète, sa famille a perdu espoir de le revoir vivant. Elle souhaite toutefois obtenir des réponses.
La disparition de M. Roy est survenue dans des circonstances mystérieuses. L'homme et sa voiture n’ont pas été retracés par les autorités depuis le 6 septembre dernier.
Le fils de Luc Roy, Marc-André, était de passage à Sherbrooke mercredi afin relancer les recherches à l’occasion de ce triste anniversaire. «On essaie de ne pas trop penser à des scénarios qui sont catastrophiques, mais à la fin, on verra la résultante de toute cette histoire», a-t-il soutenu.
Sans nouvelles de leur proche depuis 24 semaines, les membres de la famille Roy ne savent tout simplement plus quoi faire pour dénicher de nouvelles informations qui permettraient de le localiser.
Deux postes de commandement ont été déployés par le Service de police de Sherbrooke (SPS) depuis sa disparition, soit un en octobre et un second en décembre. Or, les nombreux efforts de recherches des policiers n’ont pas mené au résultat espéré.
«Son cellulaire était dans son condo, puis, malheureusement, le modèle et l’année de sa voiture Toyota n’avait pas de technologie pour pouvoir le retracer.»
Des piétons auraient aperçu l'homme pour la dernière fois, lui qui était au volant de son Toyota RAV-4 gris sur la rue Virginie-Laflamme, dans l’arrondissement de Fleurimont.
«Il n’était pas sur la bonne route. Des gens lui auraient donné de l'information sur comment se rendre sur la rue des Coquelicots», a raconté son fils. Ensuite, c’est le néant.
«Nos enquêteurs travaillent en étroite collaboration avec l'équipe intégrée de coordination des disparitions de la Sûreté du Québec. Même après six mois, on ne baisse pas les bras», a confirmé Martin Carrier, porte-parole du SPS.
De son côté, Marc-André Roy est convaincu que les autorités seront un jour en mesure de retrouver son père. «Quand? Ça c'est la question», a-t-il conclu.
Le public peut toujours contacter les autorités pour transmettre des informations au sujet de Luc Roy, en appelant au 819-821-5555.
Voyez le reportage de Dominique Côté dans la vidéo.