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«Je n’étais pas préparé du tout. Je pensais que ça pourrait être une couple d’heures, mais une fois qu’on est arrivés, cinq heure, six heures, sept heures, douze heures [se sont écoulées] et on a réalisé qu’on était encore à au moins huit kilomètres, et qu’on pouvait rester là pour un autre deux jours», raconte Luc Chénier, originaire de Cornwall, en Ontario, marié à une Ukranienne et papa de deux enfants.
Ils ont finalement décidé de rebrousser chemin et de filer vers la Hongrie. Là-bas, l’accueil fut succinct, sans personne pour leur parler en anglais ou en français.
Directeur général du Kiev Post, il continue de travailler à distance. Ses tâches ont beaucoup changé depuis le début du conflit. Auparavant, il gérait le journal ; aujourd’hui, il fait de tout, même signer des textes. Le travail l’accapare beaucoup. Il doit de plus louvoyer entre les attaques informatiques, notamment contre le site Web de sa publication
Luc Chénier espère rentrer bientôt au Canada avec sa petite famille. Voyez l’entrevue complète qu’il aq accordée à Noovo Info.