Les thérapies de conversion qui visent à transformer l’orientation sexuelle ou le genre d’une personne sont interdites au Canada... mais certaines auraient encore lieu de façon clandestine.
D'ailleurs, 5% des membres de la communauté LGBTQ+ disent en avoir été victimes.
Des intervenants de la communauté ont voulu sensibiliser la population à ce crime mercredi à Montréal.
Laurent Breault, directeur de la Fondation Émergence, indique qu’avec l’interdiction au niveau fédéral, ceux qui administrent les thérapies de conversion sont de plus en plus créatifs.
«On peut parler de prise d’hormones pour augmenter ou diminuer la libido, on peut parler de psychothérapie, des camps de masculinité». dit-il.
Tous les détails avec Étienne Fortin-Gauthier dans la vidéo.
