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Avec ces nouvelles serres, les chercheurs étudieront l'état de santé des plantes dans différentes conditions, douze mois par année, sans recourir à la dissection.
«Alors qu’on est confrontés à des défis environnementaux alarmants, ces serres représentent un outil d’une grande importance notamment pour la biodiversité et pour notre sécurité alimentaire», a souligné Marie-Claude Bibeau, députée de Compton-Stanstead et ministre du Revenu national.
Divers projets de recherche seront donc développés. Le professeur et directeur scientifique du CORSÈVE, Peter Moffet, parle notamment de projets visant à aider à revitaliser des sites miniers et de projets permettant de produire des cultivant plus résistants aux maladies. «On va essayer de trouver des microbes qui va bénéficier les plantes», a-t-il précisé.
Avec un investissement de près de 12 millions de dollars pour leur création, ces installations sont uniques à l’est du pays, en raison de l'utilisation d'une technologie de «fine pointe».
«On peut prendre des photos d’une plante à chaque jour pendant des mois. On peut aussi mesurer chaque millimètre carré de chaque feuille et voir les diverses réactions», a rapporté M. Moffet.
En plus des serres, un laboratoire mobile sera mis à la disposition des chercheurs et des étudiants.
Voyez le reportage de Fanny Lachance-Paquette dans la vidéo.