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Partis de leur établissement, les manifestants ont ensuite marché jusqu’au bureau du député caquiste de Jonquière, Yannick Gagnon, pour faire entendre leur mécontentement face aux coupes de 151 millions de dollars annoncées dans le secteur.
Les syndiqués ont aussi critiqué la mise en place d’un plafond pour les heures rémunérées, le gel des embauches ainsi que les restrictions sur les investissements dans les collèges.
Selon eux, ces mesures nuisent directement à la qualité des services offerts aux étudiants.
«Présentement, le gouvernement effectue des coupures dans le système d’éducation, et nous réclamons les ressources nécessaires pour offrir de bons services aux étudiants»
Guillaume Langlois, un autre enseignant, a souligné que malgré les efforts pour minimiser les effets de ces compressions, les étudiants en subiront inévitablement les conséquences: «on essaie d’éviter l’impact sur les élèves, mais il y a des coupures, donc forcément il y aura des impacts.»
Voyez le reportage de Jade Laplante.