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«C'est une pause qui est bienvenue au mois de novembre. [...] Les enfants sont souvent saturés après le premier bulletin. Ils ont besoin d'une pause et on en profite», a souligné Marie-Pier Houle, une mère de famille.
Des entreprises et des organismes de Trois-Rivières ont décidé de donner un coup de pouce aux parents, en organisant des activités sportives et des camps de jour.
«C'est surtout pour les faire bouger parce qu'actuellement il y a beaucoup d'enfants qui se retrouvent chez eux et qui n'ont pas d'école. C'est une grande école de sports d'action ici», a expliqué Francis-Olivier Jutras, propriétaire d'Adrénaline Urbaine à Trois-Rivières.
«Comme dans le temps de la pandémie, on avait fait des camps. C'était tout le temps à la dernière minute. On est capable de s'arranger. Les entraîneurs se sont présentés. Il y en a qui sont en grève et d'autres aux études», a indiqué Pascal Beaudoin, président d'Avantage Hockey.
Voyez le reportage d'Alice Trahan dans la vidéo.