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Pour la Dre Amélie Boisclair, intensiviste à l’Hôpital Pierre-Le Gardeur, à Terrebonne, il y a clairement une dissonance entre ce qui se passe sur le terrain et les allégements proposés.
«Il y a à peine une semaine, on se faisait dire que ce n’était pas le temps de parler d’allégements, que la situation était critique», déplore-t-elle, en entrevue au Fil 22h, sur les ondes de Noovo Info.
«Non seulement c’est de réussir à arrêter de faire du délestage, mais il va falloir réussir à faire du rattrapage ; mais on est loin de tout ça, et la situation n’a pas beaucoup bougé dans la dernière semaine.»