Aux yeux de Bruno Marchand, la politique et la poutine se ressemblent d'une certaine manière. À l'instar d'une poutine, la politique t'éloigne de la santé, philosophe le maire sortant.
C'est à l'intérieur du mythique casse-croûte Chez Gaston que M. Marchand admet que les quatre dernières années ont eu un impact sur sa vie personnelle. Stress, repas manqués, horaire chargé, etc. Son corps n'a pas été épargné.
«Il faut donc que tu te battes très fort pour rester en santé, car tout dans ton hygiène y passe», a-t-il confié à Noovo Info.
M. Marchand s'est d'ailleurs dit extrêmement fier de sa campagne électorale, bien qu'elle a été «une épreuve physique».
Sur un ton plus sérieux, le chef de Québec forte et fière a livré un message aux habitants des banlieues de Québec. Rappelons que M. Marchand a été critiqué par ses opposants de ne pas se soucier des habitants plus éloignés du centre-ville.
«Il y a du monde qui dit que je me fous des banlieues. C’est pas vrai», a-t-il assuré.
S'il obtient un second mandat, M. Marchand compte chercher à mobiliser et réunir tous les citoyens de Québec.
Chose certaine, ce n'est pas grâce à un hot-dog steamé que le tout sera possible, puisque le maire a terminé son entrevue en réitérant sa haine envers ce plat typique des casse-croûtes de la province.
«Le hot-dog steamé est un hot-dog surestimé.»
À voir dans la vidéo.
