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Harold Veilleux, de Dolbeau-Mistassini, au Lac-Saint-Jean, a mis la main sur la médaille d’or dans sa catégorie d’âge il y a quelques semaines en Afrique du Sud.
Harold Veilleux a profité de l’occasion pour inciter les gens dans la cinquantaine et dans la soixantaine à s’entraîner afin qu’ils ne développent pas des problèmes de santé.
«La caractéristique du vieillissement, c’est que tu vas perdre de la masse musculaire, a-t-il expliqué. Bougez, entraînez-vous.»
M. Veilleux raconte avoir décidé de participer à des compétitions de dynamophilie en raison de son fils, qui avait également remporté un championnat du monde en 2017.
«J’ai été meilleur à 60 ans que je l’avais été à 50 ans», se souvient-il.
Après réalisé cet exploit, Harold Veilleux songe maintenant à devenir entraîneur pour transmettre ses connaissances à la nouvelle génération.
La dynamophilie est une épreuve de force consistant à exécuter trois mouvements: le squat, le «bench press» et la soulevée de terre, appelée également le «dead lift».
Voyez le reportage de Mike Bilodeau dans la vidéo.