À la veille de la Marche mondiale pour les femmes, des organismes, dont plusieurs CALACS, dénoncent la banalisation d’OnlyFans, qu’ils considèrent comme de la prostitution.
«Si on échange du contenu sexuel contre de l’argent sur Onlyfans, ça fait partie de la prostitution», estime Marie-Michèle Whitlock, signataire et intervenante au CALACS Agression Estrie.
Mme Whitlock ajoute que les CALACS au Québec rencontrent des victimes de la prostitution qui ont été forcées par des proxénètes d’ouvrir des comptes Onlyfans.
À voir dans la vidéo.
