Début du contenu principal.
Noovo Info a pu s’entretenir avec la mère de famille.
Voyez l’entretien dans la vidéo liée à l’article.
«On est dans une maison avec beaucoup de gens comme moi. On est presque 80. La plupart sont des enfants», témoigne Mme Ghazal.
Outre les bombardements, celle-ci dit d’ailleurs s’inquiéter des réserves d’eau, de nourriture et de gaz, qui se font rares. Noovo Info n’a pu s’entretenir avec Mme Ghazal que par téléphone, ces conditions rendant difficile l’organisation d’un appel vidéo.
Le manque d’accès à Internet empêche de nombreux Gazaouïs de s’informer convenablement. Ce faisant, Mme Ghazal n’a pas eu beaucoup de détails sur le bombardement de l’hôpital al-Ahli de Gaza.
«On est franchement isolés. On n’a pas de moyen de voir des photos ou des vidéos. On n'a pas d’Internet, ce n’est pas facile d’accéder aux images. Selon mes amis qui habitent à Jérusalem et à Ramallah, à l’extérieur de la Palestine, c’est un massacre», confie-t-elle.
Mme Ghazal l’avoue à mi-mots, elle est en quelque sorte habituée à ce genre de conflits. C’est pourquoi son plus grand souhait est de pouvoir vivre une vie paisible à Gaza.
«Comme maman, j’espère qu’on va avoir du calme et une vie comme tous les êtres humains dans le monde. On est fatigués d’avoir des guerres tous les ans», laisse-t-elle tomber.
Pour l’entretien intégral, visionnez la vidéo liée à l’article.