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Cependant, ce sont les apprentis conducteurs qui sont le plus touchés par cette situation.
Voyez le reportage de Frédérique Bacon dans la vidéo.
«Quand tu as seulement un cours aux deux ou trois mois, c’est très, très, très difficile, le gain d’acquis ou d’aise au volant», déplore Patricia Syrianne Roy, qui tente d’obtenir son permis de conduire.
La directrice générale du réseau des écoles de conduite Tecnic, Mylène Sévigny, estime quant à elle que ses établissements sont en voie de rattraper les retards infligés par la pandémie. «De façon générale, les élèves, terminent le cours dans le délai d’un an qui est prescrit par la Société d’assurance automobile», indique-t-elle.
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Mme Sévigny admet toutefois que certaines régions, comme la Mauricie, peuvent accuser un retard un peu plus important.
De son côté, Stephan Viau, instructeur et moniteur à l’école de conduite Vision, affirme aussi que les élèves inscrits à son établissement sont en mesure de compléter le programme dans les délais prévus. Dans le cas contraire, les retards sont plus souvent attribuables aux élèves, selon lui.
«[Pour y arriver], on part une cohorte par mois et on n'excède pas le nombre en lien avec notre capacité. De cette façon, les élèves sont capables d’avoir leurs cours dans des délais raisonnables et de finir l’ensemble de leur formation dans le délai prévu», explique M. Viau.
Pour le reportage intégral, visionnez la vidéo.
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