Santé

Au printemps, c’est le temps de bouger!

À VOIR | En plus des bienfaits physiques, pratiquer une activité physique peut également avoir des effets positifs sur la santé mentale.

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Au printemps, c’est le temps de bouger! Aujourd’hui, c’est la journée nationale du sport et de l’activité physique (JNSAP). Le gouvernement profite du retour de la température printanière pour inciter la population à bouger. «Le sport, ça permet en général de te dépasser et même de faire une coupure avec le travail et la famille. Dans la JNSAP, ce qu’on veut, c’est de permettre aux gens de s’épanouir dans un sport», a exprimé le consultant en préparation mentale et kinésiologue, Marc-Antoine Roussel. Pour toutes les dernières nouvelles sur la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean, consultez Noovo Info. En plus des bienfaits physiques, pratiquer une activité physique peut également avoir des effets positifs sur la santé mentale. «On le sait aujourd’hui que ça l’a un impact énorme sur l’humeur, la concentration, la qualité du sommeil et sur tout ce qui se passe en termes de processus cognitif», a expliqué la kinésiologue accréditée, Valérie Boudreault. Selon Statistique Canada, le nombre de Québécois qui pratiquent au moins deux heures et demie par semaine a diminué de 4,5% depuis 2017. Voyez le reportage de Jade Laplante dans la vidéo.

C'est lundi que c'est déroulé la journée nationale du sport et de l’activité physique (JNSAP) et le gouvernement profite du retour de la température printanière pour inciter la population à bouger.

«Le sport, ça permet en général de te dépasser et même de faire une coupure avec le travail et la famille. Dans la JNSAP, ce qu’on veut, c’est de permettre aux gens de s’épanouir dans un sport», a exprimé le consultant en préparation mentale et kinésiologue, Marc-Antoine Roussel.

Pour toutes les dernières nouvelles sur la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean, consultez Noovo Info.

En plus des bienfaits physiques, pratiquer une activité physique peut également avoir des effets positifs sur la santé mentale.

«On le sait aujourd’hui que ça l’a un impact énorme sur l’humeur, la concentration, la qualité du sommeil et sur tout ce qui se passe en termes de processus cognitif», a expliqué la kinésiologue accréditée, Valérie Boudreault.

Selon Statistique Canada, le nombre de Québécois qui pratiquent au moins deux heures et demie par semaine a diminué de 4,5% depuis 2017.

Voyez le reportage de Jade Laplante dans la vidéo.