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On rapportait la semaine dernière que la pénurie de main-d’œuvre, les absences liées au variant Omicron, les retards accumulés en raison d'un conflit de travail de quatre mois, l'été dernier, ont « aggravé » ce phénomène.
En temps normal, le nombre de bêtes en attente d'abattage, qui avoisine une moyenne d'entre 25 000 bêtes et 30 000 bêtes, monte à 40 000 au retour des Fêtes.
Noovo Info est allé à la rencontre d'acteurs du milieu pour faire le point sur la situation.
Avec des informations de la Presse canadienne