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La montée en puissance du variant Omicron a d’ailleurs convaincu la Ligue nationale de hockey à ne pas envoyer ses joueurs aux Jeux d’hiver pour une deuxième édition consécutive.
D’autres olympiens pourront tout de même tenter de décrocher une médaille d’or en Chine. C’est le cas de Laurent Dubreuil, qui prend toutes les précautions nécessaires pour ne pas tester positif à la COVID-19 avant de s’envoler vers l’Asie.
«Je suis un peu stressé avec la COVID, a lancé le patineur de vitesse longue piste sur les ondes de Noovo Info. Sinon mes préparations vont super bien à l’entrainement, mes sensations sont excellentes.»
Voyez l'entrevue complète dans la vidéo ci-contre.
Contracter le virus gâcherait les plans et le rêve du Québécois, qui ne vise rien d’autre qu’une médaille d’or olympique au 500 mètres.
«C’est ma plus grosse peur. Je pense que c’est mon plus gros adversaire également, ajoute l’athlète originaire de Lévis. Rendu sur la ligne, je me fais confiance d’être capable de rivaliser avec les meilleurs, mais attraper la COVID, même si on est asymptomatique, on ne prend pas l’avion. On ne se rend pas aux Olympiques…»
Une fois dans l’avion, Dubreuil estime que les chances de tester positif à la COVID-19 sont plutôt minces, en raison des mesures sanitaires strictes établies par la Chine en vue des Olympiques.
«Je pense qu’avec les mesures que la Chine va prendre pour limiter la propagation, on va être en sécurité côté COVID.»
Le patineur de 29 ans a récolté huit médailles en autant de compétitions cette saison et souhaite ajouter une neuvième à sa collection.
«L’or au 500 mètres. C’est mon rêve de carrière, c’est un gros objectif, mais je peux juste contrôler ma propre performance, je ne peux pas contrôler ce que les autres font.»