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Kent Hugues, c’est surtout «l’histoire un peu romantique du sport», comme le précise Meeker Guerrier, qui a assisté pour Noovo Info au point de presse introductif de mercredi. «Un gars de Beaconsfield qui a rêvé de jouer au Centre Bell ou au Forum, à l’époque, qui qui maintenant dirige le Canadien. C’était la deuxième meilleure option pour faire partie de l’organisation, après l’option d’être un joueur», a-t-il commenté mercredi au bulletin Le Fil 22h.
La question linguistique a bien entendu été soulevée, Kent Hugues étant anglophone, mais Québécois. Il a toutefois démontré qu’il maniait suffisamment bien «la langue de la majorité» pour satisfaire les partisans.
La prochaine étape pour Kent Hugues sera le trouver une identité claire à l’équipe, notamment dans le choix des joueurs, pour ramener l’équipe à un niveau de jeu respectable.