Économie

Les acheteurs d’une première maison inquiets au sujet de l’économie, selon un sondage

Parmi les autres principales préoccupations, on retrouve l’abordabilité (56 %), suivie de l’incertitude quant à l’avenir (47 %).

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Une femme passe devant une maison à vendre à Montréal, le vendredi 4 mars 2022.
Une femme passe devant une maison à vendre à Montréal, le vendredi 4 mars 2022. Une femme passe devant une maison à vendre à Montréal, le vendredi 4 mars 2022. (Graham Hughes/Graham Hughes | La Presse canadienne)

Les inquiétudes concernant la stabilité de l’emploi et l’économie pèsent sur les acheteurs d’une première maison qui souhaitent accéder au marché, selon un récent sondage.

L’étude Harris Poll Canada, commandée par la Banque Scotia, indique que plus de la moitié des Canadiens qui prévoient acheter leur première maison au cours des cinq prochaines années estiment que cet objectif est actuellement hors de leur portée.

Environ 62 % des acheteurs potentiels d’une première maison citent la conjoncture économique actuelle comme un facteur ayant un impact négatif sur leurs finances et retardant leurs projets d’achat.

Parmi les autres principales préoccupations, on retrouve l’abordabilité (56 %), suivie de l’incertitude quant à l’avenir (47 %) et de la peur de prendre la mauvaise décision (43 %).

Par ailleurs, près de la moitié des acheteurs potentiels d’une première maison avancent que leurs décisions hypothécaires sont influencées par leurs inquiétudes concernant la stabilité de l’emploi, comparativement à 28 % des autres Canadiens.

Environ 92 % des acheteurs d’une première maison interrogés trouvent le processus d’achat d’une maison complexe, comparativement à 68 % de l’ensemble des Canadiens.

Le coup de sonde a été mené en ligne auprès de 3064 adultes canadiens du 24 au 26 septembre 2025.