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Plusieurs de ces mots trouvent leur origine de l’anglais, de la pandémie et du Québec.
L’évolution de la société, particulièrement au cours des deux dernières années de la pandémie, a influencé l’usage de certains mots et locutions. Cette évolution se reflète dans l’édition 2023 du Petit Larousse illustré.
«Cette nouvelle édition intègre 150 nouveaux mots, sens, locutions et expressions témoignant tant de la vitalité que de la diversité de la langue française», ont indiqué les éditions Larousse dans un communiqué.
Parmi ces mots et expressions on retrouve «jeton non fongible» (JNF ou NFT pour non-fungible token en anglais) et k-pop qui fait référence à la pop coréenne, un style musical apparu en Corée du Sud dans les années 1990 et qui a connu une importante hausse en popularité récemment.
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Provenant de l’anglais, le terme flow est désormais dans le dictionnaire. Ce nom masculin fait référence au rythme de la musique ou des paroles, généralement d'un rappeur.
Également de la langue de Shakespeare, l’adjectif woke qui a été source de débats, d’insultes et de discours est défini comme un courant de pensée dénonçant toutes les formes d’injustices et de discriminations subies par les minorités ethniques, sexuelles ou religieuses.
Le virus de la COVID-19 est devenu un sujet de conversation le plus répandu durant les deux dernières années. La découverte de nouvelles particularités du virus a engendré la création de nouveaux mots, tel que «COVID long» qui est définie comme étant la persistance ou la réapparition de symptômes liés à la COVID-19.
Aussi, le fameux passeport vaccinal a fait beaucoup parler. Il est officiellement baptisé sous le nom masculin «passe vaccinal».
D'origines françaises, les éditions Larousse ont conçu un dictionnaire incluant des termes provenant du Québec.
Parmi ceux-ci, on retrouve la «barbotine», la «guédille», le «revitalisant» et le «carré de sable».
À titre d'exemples, on vous présente d'autres mots définis: