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L’influenceuse québécoise a publié un long texte sur les réseaux sociaux, expliquant qu’elle craint la réaction du père de son enfant une fois qu’il aura purgé sa peine.
Elisabeth Rioux a réagi à la sentence de son ex-conjoint, Bryan McCormick, qui a écopé de six mois d’emprisonnement pour lui avoir fait subir plusieurs épisodes de violence conjugale.
L’influenceuse québécoise a publié un long texte sur les réseaux sociaux, expliquant qu’elle craint la réaction du père de son enfant une fois qu’il aura purgé sa peine.
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«Je ne peux m’empêcher de penser que ça peut aller dans les deux sens: d’un côté, il pourrait aller en prison et prendre le temps de réfléchir pour devenir une meilleure personne, mais de l’autre côté, il pourrait aussi accumuler de la colère (en prison) et qui sait ce qui pourrait arriver lorsqu’il sortira», a confié la femme d'affaires sur une publication Instagram.
La fondatrice de Hoaka Swimwear confie également qu’elle «n’arrête pas de faire des cauchemars par rapport à ça».
Rioux a mentionné qu’elle a réfléchi longuement avant de partager le fond de sa pensée et a ajouté qu’elle hésitait à supprimer la publication plus tard.
Bryan McCormick a plaidé coupable en décembre 2021 de menace de mort, de voies de fait et de méfait. La juge Nancy McKenna a ordonné à McCormick de suivre une thérapie lors de sa détention. Ce dernier a mentionné avoir travaillé sur lui-même pour gérer ses actes de violence.
Elisabeth Rioux a demandé à ses abonnés et à son entourage de ne plus lui parler de cet épisode et de respecter sa vie privée.
«J’aimerais vraiment choisir quand je veux y penser ou en parler parce que je reçois des appels plusieurs fois par jour, a-t-elle affirmé. J’espère que vous comprenez…»
Les incidents ont débuté alors que la vedette d’Instagram était enceinte et auraient continué après la naissance de leur enfant. Cela aurait duré environ un an avant qu’une plainte à la police soit déposée.
Si vous êtes victime de violence conjugale: composez le 1 800 363-9010 ou visitez le SOS Violence conjugale.