Le Gatinois, reconnu coupable d'avoir violé plusieurs femmes en les droguant au GHB, souhaite recouvrer sa liberté.
Selon le Journal de Montréal, Michel Giroux a plaidé mardi devant la Commission des libérations conditionnelles du Canada qu'il a changé et qu'il ne représente plus un risque pour la société.
Il continue toutefois de minimiser les crimes commis en 2018 à l'endroit de sept femmes, crimes pour lesquels il purge une peine de sept ans de prison.
La Commission rendra sa décision dans les deux prochaines semaines.
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