Début du contenu principal.
Les résultats d'analyse démontre que l'eau de baignade répond amplement aux normes canadiennes.
Les résultats d'une seconde étude confirment que la qualité de l’eau dans le bassin de Chambly a un très bon potentiel de baignade par temps sec.
L'analyse de la Fondation Rivières et de la Ville de Chambly, effectuée à partir de prélèvements de 2023, révèle qu'il y a 10 fois moins de coliformes fécaux que le seuil canadien recommandé dans une eau propice à la baignade (200 UFC/100 ml) au Centre nautique Gervais-Désourdy par une journée de beau temps (temps sec) soit 19 UFC/100 ml.
Les UFC (Unités formatrices de colonies) sont une mesure de la concentration de E. Coli dans l’eau. Au quai municipal de Chambly, cette moyenne est de 61 UFC/100 ml.
Une période de temps sec correspond à toute journée pour laquelle les précipitations des trois derniers jours, incluant la journée en cours, sont inférieures à cinq millimètres. Toutefois, par temps de pluie, la qualité de l’eau se dégrade et ne permet pas toujours la baignade puisque des surverses d’eaux usées peuvent contaminer temporairement les cours d’eau, comme c’est le cas à de nombreux endroits au Québec.
Devant ces résultats, l’administration municipale analyse tous les scénarios possibles afin de valoriser le partage de la rivière Richelieu. Pourrait-elle envisager, un jour, d’y aménager une plage?
Le communiqué de la Ville peut nous laisser penser que cela pourrait être le cas puisqu’on prend soin de souligner qu’il n’existe présentement qu’une seule plage publique destinée à la baignade sur la rivière Richelieu et c’est celle située à Saint-Paul-de-l’Île-aux-Noix.