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Lorsque l'audience a été suspendue pour l'heure de dîner, sept jurés ont été sélectionnés.
Un nouveau jury a été sélectionné pour le nouveau procès de cinq anciens joueurs de hockey junior. Michael McLeod, Carter Hart, Alex Formenton, Dillon Dube et Cal Foote sont accusés d'agression sexuelle.
Le nouveau jury, composé de 14 personnes, comprend neuf femmes et cinq hommes.
Ce texte est une traduction d'un article de CTV News.
Vendredi matin, le procès a été annulé, ce qui a entraîné le renvoi du jury précédent, composé de 11 femmes et trois hommes.
Une interdiction de publication empêche de divulguer les raisons pour lesquelles le procès a été annulé.
La juge Maria Carroccia a annoncé l'annulation du procès en déclarant: «Je suis désolée de devoir vous informer que j'ai déclaré l'annulation du procès dans cette affaire. En conséquence, ce jury est dissous, vous êtes libres de partir.»
Elle n'a pas donné plus de détails sur les raisons de l'annulation du procès à ce moment-là, indiquant seulement qu'une question nécessitant une discussion avec les avocats avait été soulevée.
Les joueurs, qui ont plaidé non coupables, sont accusés d'un incident qui aurait eu lieu dans une chambre d'hôtel à London, en Ontario, en juin 2018.
Comme lundi est le jour des élections fédérales, Mme Carroccia a déclaré que la journée serait «courte» afin de permettre à tout le monde de voter.
Au lieu de commencer vendredi, Mme Carroccia a déclaré: «Nous recommencerons lundi matin».
Un procès avorté signifie qu’une erreur ou un problème majeur a empêché la tenue d’un procès équitable, rendant impossible un verdict valide.
Le procès devrait durer environ huit semaines.
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Dans le bulletin Noovo Info 12 de vendredi, la juge à la retraite Nicole Gibeault a précisé qu'un avortement de procès est un phénomène plutôt rare, du moins au Québec.
«Ce n'est pas une décision qu'un juge prend à la légère. Ça peut être quelque chose dans la preuve qui est sorti. Il y a plusieurs ordonnances de non-publication dans ce dossier, plusieurs accusés et plusieurs avocats. Il y a énornément de matériel et beaucoup de plublic, beaucoup de médias. On ne veut pas qu'il y ait apparence d'inéquité dans ce procès», a-t-elle exprimé.
Avec des informations de La Presse canadienne et d'Émile Bérubé-Lupien pour Noovo Info