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Dans une mise à jour d'enquête cette semaine, la Commission civile d'examen et de traitement des plaintes relatives à la GRC (CCETP) affirme avoir reçu «peu d'informations ou de dossiers» depuis juillet de la Division E de la force policière.
L'agence fédérale chargée d'examiner les plaintes contre la Gendarmerie royale du Canada (GRC) affirme que la police cause des «retards importants» dans une enquête sur une unité créée pour traiter les manifestations contre les projets des industries de l'énergie et de l'exploitation forestière.
Dans une mise à jour d'enquête cette semaine, la Commission civile d'examen et de traitement des plaintes relatives à la GRC (CCETP) affirme avoir reçu «peu d'informations ou de dossiers» depuis juillet de la Division E de la force policière, dont le quartier général est à Surrey, en Colombie-Britannique.
La commission affirme avoir fait des progrès dans son enquête sur le controversé Groupe d’intervention pour la sécurité de la collectivité et l’industrie, mais affirme que la finalisation de l'enquête sera retardée.
Elle indique qu'une récente réunion entre la commission et la GRC a fait état de «préoccupations concernant les retards», et que la force lui a depuis fourni plus de 400 dossiers, même si des informations «importantes» n'ont pas encore été fournies.
La commission a engagé un cabinet d'avocats pour l'aider dans son «enquête systémique» afin d'interroger les personnes qui ont eu des contacts avec l'unité lors de manifestations sur des sites d'exploitation forestière en Colombie-Britannique et le long du projet de gazoduc Coastal GasLink.
La Division E de la GRC n'a pas immédiatement répondu à une demande de commentaires sur les retards.