Début du contenu principal.
Trudeau et Scholz discuteront affaires à Montréal et à Toronto
Une journée plutôt chargée attend le premier ministre canadien Justin Trudeau et le chancelier allemand Olaf Scholz alors que ce dernier entame une tournée de trois jours.
L'Allemagne est l'un de nos plus proches alliés, et c'était super d'accueillir le chancelier @OlafScholz au Canada aujourd'hui pour le début de sa visite. Bienvenue à Montréal ! pic.twitter.com/GJu9bzgoTP
— Chrystia Freeland (@cafreeland) August 22, 2022
Les deux leaders vont entreprendre leur journée par une réunion à Montréal à laquelle participeront plusieurs ministres du gouvernement Trudeau.
Bienvenue au Canada, Monsieur le Chancelier! 🇨🇦🇩🇪 pic.twitter.com/0kTBy5zXEj
— Justin Trudeau (@JustinTrudeau) August 22, 2022
Selon le cabinet du premier ministre, les deux hommes veulent stimuler les investissements et les occasions d'affaires entre les deux pays, particulièrement dans les industries de l'automobile et des minerais critiques.
Par la suite messieurs Scholz et Trudeau sont attendus pour une visite de l'Institut québécois d’intelligence artificielle, soutenu financièrement par Ottawa, avant de s'envoler pour Toronto pour une réception.
Olaf Scholz, qui a succédé à Angela Merkel à la fin de l'année dernière, doit également s'arrêter à Stephenville dans l'ouest de Terre-Neuve.
À lire également :
- Visite du chancelier allemand: révocation d'un permis pour des turbines réclamé
- Trudeau vante un futur partenariat énergétique avec l'Allemagne
- Justin Trudeau et Olaf Scholz signeront un accord sur l'hydrogène à Terre Neuve
Justin Trudeau et son invité doivent par ailleurs signer une entente d'approvisionnement de l'Allemagne en hydrogène vert canadien, en plus de discuter de l'invasion russe en Ukraine.
À l'occasion de la visite au pays du chancelier, l'Ukraine en a profité pour réitérer ses critiques à l'endroit du gouvernement Trudeau pour avoir exempté Siemens Canada des sanctions économiques imposées à la Russie. Le Canada a permis à Siemens de réparer des turbines à Montréal avant de les renvoyer en Russie pour permettre au gazoduc Nord Stream 1 de fournir l'Allemagne en gaz naturel.