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La pénurie de main-d'oeuvre touche non seulement les infirmières, mais aussi bien d'autres titres d'emploi dans le réseau de la santé et des services sociaux.
L'APTS vient de déposer ses demandes à Québec en vue d'améliorer les conditions de travail de ses membres dans les établissements de santé, mais aussi dans les services sociaux, comme dans les centres jeunesse et à la DPJ.
La pénurie de main-d'oeuvre touche non seulement les infirmières, mais aussi bien d'autres titres d'emploi dans le réseau de la santé et des services sociaux, a souligné en entrevue jeudi Josée Fréchette, première vice-présidente de l'Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux.
Même si Québec a encore une fois dit vouloir présenter des offres différenciées, en privilégiant certains titres d'emploi, l'APTS tient à ce que l'ensemble de ses membres puissent profiter de conditions de travail bonifiées.
Par exemple, elle revendique de devancer l'accès à une cinquième semaine de vacances.
Elle revendique aussi une bonification des primes de soir, de nuit et de fin de semaine.
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Elle demande aussi que le gouvernement rembourse l'adhésion à un ordre professionnel.
L'organisation syndicale représente 65 000 membres qui occupent 108 titres d'emploi dans les différents établissements du réseau. Elle fait partie du front commun, avec la CSQ, la CSN et la FTQ. Celui-ci a déposé la semaine dernière ses demandes «communes», soit celles portant sur les salaires et la retraite, par exemple.