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Le ministère de la Santé recommande toujours l’ouverture des fenêtres de façon intermittente.
Les autorités de santé publique du ministère de la Santé et des Services sociaux maintiennent leur recommandation de ne pas recourir systématiquement à l’installation de purificateurs d’air mobiles dans les classes pour réduire les risques de propagation de la COVID-19 en milieu scolaire.
La santé publique estime dans un premier temps que «l’efficacité de ces appareils à réduire la transmission de la COVID-19 en contexte scolaire n’est pas prouvée».
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Par communiqué, le ministère de la Santé précise que l’installation de plusieurs appareils dans une classe «pourrait nuire autant au fonctionnement de la classe en raison du bruit généré que des flux d’air occasionnés».
Selon les autorités de santé publique, des études prouveraient que «lorsque la ventilation est adéquate, il n’y a pas de valeur ajoutée d’utiliser des purificateurs d’air mobiles.»
Le ministère de la Santé recommande toujours l’ouverture des fenêtres de façon intermittente ce qui permet «un échange d’air et une ventilation adéquate dans la très grande majorité des cas».
Le recours à des échangeurs ou à des extracteurs d’air serait envisageable dans les situations où «les fenêtres ne peuvent être ouvertes et que la ventilation est compromise.»
Dans ces cas précis, le ministre de la Santé préconise le respect de toutes les mesures de protection contre la COVID-19, incluant «le port du masque par tout le monde, en tout temps.»
Québec conseille aux écoles de consulter un expert en ventilation avant l’installation de purificateurs jugeant qu’il est «difficile de décider où installer ces appareils sans savoir qui est infecté.