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La police de l'État a déclaré qu'il y avait «plusieurs victimes» dans une alerte diffusée sur les médias sociaux vendredi en fin d'après-midi.
Une fusillade dans un hôpital psychiatrique du New Hampshire s'est soldée par la mort du suspect, selon la police.
Dans un communiqué publié peu avant 17h, le gouverneur Chris Sununu a déclaré que l'incident avait été maîtrisé.
«La scène reste active pendant que le campus est nettoyé, mais le suspect est décédé. L'État s'est immédiatement mobilisé et les premiers intervenants ainsi que les forces de l'ordre sont sur place. Nous fournirons autant de détails que possible au fur et à mesure de l'évolution de la situation», a-t-il dit.
Le service de sécurité intérieure et de gestion des urgences du New Hampshire a indiqué sur X, anciennement connu sous le nom de Twitter, qu'à 16h45 le suspect était mort.
The situation at New Hampshire Hospital has been contained. The scene remains active. The suspect is deceased. pic.twitter.com/fYGDgLxcOG
— NH Homeland Security and Emergency Management (@NH_HSEM) November 17, 2023
La police de l'État a déclaré qu'il y avait «plusieurs victimes» dans une alerte diffusée sur les médias sociaux vendredi en fin d'après-midi. D'autres détails n'étaient pas immédiatement disponibles. L'hôpital du New Hampshire est l'hôpital psychiatrique de l'État, situé dans la capitale de l'État.
Des images aériennes de l'hôpital montrent une scène active avec de nombreuses voitures de police dont les gyrophares clignotent à l'extérieur de l'hôpital. Un véhicule blindé s'approchait de la scène à l'extérieur de l'hôpital vendredi après-midi.
La police de Concord et les adjoints du shérif du comté de Merrimack, ainsi que la police de l'État, se trouvaient sur les lieux. Les services de sécurité intérieure et d'urgence du New Hampshire ont mis en place un centre de presse sur un terrain de sport voisin.
La fusillade de vendredi est le dernier acte de violence en date dans un hôpital américain. Les centres médicaux du pays se sont efforcés de s'adapter aux menaces croissantes, qui ont contribué à faire des soins de santé l'un des domaines les plus violents du pays.