La Société de promotion économique de Rimouski (SOPER) et la Société d’économie et de développement de Forestville (SEDF) l'ont annoncé lundi dans un communiqué.
Ils mentionnent qu’un autre délai d'un an sera mis en place, après celui de 2024, à cause de «diverses raisons» et «par un souci de bien faire les choses.»
«Aux défis de la viabilité du service de traversier et à la complexité de choisir un navire, s’ajoutent des contraintes logistiques dans le déploiement du projet», peut-on lire dans le communiqué acheminé aux médias.
Les prochains mois seront consacrés à trouver des solutions à ces défis et ce délai supplémentaire devrait permettre de trouver une solution durable.
«Tant que la situation n’aura pas progressé pendant ce moratoire, aucune communication ou déclaration additionnelle ne sera faite», ont tenu à souligner la SOPER et la SEDF en précisant qu'elles travaillent de concert sur le dossier de l’OBNL Corporation de liaison maritime Rimouski-Forestville avec le support du ministère des Transports et de la Mobilité durable.
Les gens devront donc attendre à 2025 pour espérer une traverse Rimouski-Forestville.

