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Les trois groupes syndicaux — FSE-CSQ/ FPSS-CSQ et FPPE-CSQ — tenaient à faire front commun puisqu'ils représentent les professeurs, les professionnels et les employés de soutien.
Une centaine d'employés du milieu de l'éducation étaient rassemblés à Québec, vendredi midi, pour appuyer leurs négociateurs qui entamaient la première ronde de négociation avec le gouvernement en vue du renouvellement de leur convention collective.
Les trois groupes syndicaux — FSE-CSQ/ FPSS-CSQ et FPPE-CSQ — tenaient à faire front commun puisqu'ils représentent les professeurs, les professionnels et les employés de soutien.
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La présidente du syndicat des enseignants, Josée Scalabrini est enthousiaste et a déclaré que le ministre de l'Éducation, Bernard Drainville, comprend bien les besoins qui se font sentir dans les écoles, ce qui devrait faciliter les négociations. Elle ajoute que l'issu de ces négociations sera le moment de prouver que l'éducation est réellement une priorité pour le gouvernement.
Le représentant du personnel de soutien, Éric Pronovost, a pour sa part rappelé que la majorité de ses membres ont des emplois précaires et des horaires atypiques. Selon lui ils méritent de meilleures conditions puisqu'ils «font partie intégrante de l'équipe-école».