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Cette enquête non publique vise à vérifier si les droits des enfants ont été respectés.
La Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ) a ouvert une enquête pour vérifier la situation d'un enfant, après que la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) aurait divulgué l'adresse où vivait la mère, qui aurait été victime de violence conjugale, à son ex-conjoint.
L'adresse de la mère monoparentale était protégée par une ordonnance émise par la cour, dit-on.
À la suite d'informations alléguées dans les médias, la Commission enquêtera sur la situation de l'enfant sous l'article 23b) de la Loi sur la protection de la jeunesse, ayant des raisons de croire à des lésions de droits des enfants.
Cette enquête non publique vise à vérifier si les droits des enfants ont été respectés.
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À travers un communiqué, la Commission rappelle que la protection des enfants est l'affaire de tous et toutes au Québec, mais ne fera pas d'autre commentaire à ce sujet.
La CDPDJ pourrait rendre publiques les recommandations systémiques, si nécessaire, à la fin de l'enquête. Les conclusions ou recommandations concernant la situation ou le dossier individuel d'un enfant ne seront pas rendues publiques.