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Société

L'OSSNR constate des «lacunes inacceptables» en matière d'ingérence au Canada

Un panneau indiquant le bâtiment du Service canadien du renseignement de sécurité à Ottawa, le mardi 14 mai 2013. Le chien de garde national de l'espionnage déclare que le Service canadien du renseignement de sécurité et la Sécurité publique n'ont pas de système pour suivre qui a reçu et lu des renseignements spécifiques sur l'ingérence étrangère, créant des « lacunes inacceptables en matière de responsabilité ».

Le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) et Sécurité publique Canada ne disposaient pas d'un système permettant de suivre qui recevait et lisait des renseignements précis sur l'ingérence étrangère, créant ainsi des «lacunes inacceptables en matière de responsabilité», a constaté l'Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement (OSSNR).