Les travailleuses de SOS violence conjugale ont voté mardi soir pour un mandat de grève générale illimitée.
«Selon l’évolution des négociations avec l’employeur, les travailleuses sont prêtes à toute éventualité, si bien que ce mandat pourra être mis en application au moment jugé opportun par le syndicat», précise-t-on dans un communiqué acheminé aux médias.
Les salariées de SOS violence conjugale sont sans contrat de travail depuis mars 2020.
Selon le syndicat, affilié à la Fédération des syndicats de l'action collective (FSAC-CSQ), les négociations - qui ont débuté il y a près de trois ans, soit en décembre 2020 - achoppent principalement sur l’organisation du travail, notamment la structure des postes.

