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Le temps d’attente avant l’arrivée d’un taxi continue à s’étirer au Saguenay–Lac-Saint-Jean.
Le temps d’attente avant l’arrivée d’un taxi continue à s’étirer au Saguenay–Lac-Saint-Jean.
C’est qu’en plus de la pénurie de chauffeurs, les entreprises comme Taxi Unis ou Taxi Diamond priorisent des contrats avec des restaurants, avec le CIUSSS ou encore avec les concessionnaires automobiles aux appels de citoyens.
Ces contrats représentent entre 25 et 40 % des revenus des deux compagnies qui s’assurent ainsi d’une stabilité financière, explique le président de Taxi Unis, Hugo Lapointe.
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«Ça ajoute une stabilité. Ça nous permet d’avoir une source de revenus constante dans les moments les plus difficiles. Ça nous permet aussi de garder des chauffeurs, parce que sinon ce serait encore bien plus difficile.»
Voyez le reportage de Marc-Antoine Mailloux sur le sujet.
Les entreprises de taxi honorent également des contrats avec des commissions scolaires, des pharmacies et avec la maison d’hébergement La Chambrée.
Les compagnies vivent aussi avec la réalité du manque de personnel que ne leur permet pas de mettre sur la route la totalité de leur flotte de voitures. Taxi Diamond compte, par exemple, 13 ou 14 voitures en service, plutôt que les 38 qu’elle parvenait à proposer auparavant.
«On marche à peu près avec la moitié moins de véhicules pour une même période», témoigne le chauffeur-propriétaire, Marc-André Savard.
Avec les informations de Marc-Antoine Mailloux, Noovo Info.