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Les manifestations d’Ottawa ont inspiré d’autres démonstrations dans des provinces canadiennes, certes, mais aussi chez des pays européens. Après Paris, c’était au tour de Bruxelles de joindre le mouvement.
Nous en avons parlé sur les ondes de Noovo Info avec le journaliste indépendant Philippe Couture, justement en poste à Bruxelles.
Capitale de l’Union européenne, Bruxelles en a vu d’autres sur le plan des manifestations; la ville en accueillerait plus de 1000 par an. Cette fois-ci, en raison de l’étroitesse des rues, il n’était pas question de laisser les poids lourds paralyser les secteurs névralgiques, comme l’explique le bourgmestre du centre-ville de Bruxelles, Philippe Close.
«Ici, le problème c’était qu’entre la valeur de la liberté d’expression et l’ordre public, il fallait trancher. On avait dit aux personnes qu’elles pouvaient venir manifester, mais pas bloquer toute la ville. Raison pour laquelle on les a fortement découragés de venir abandonner leurs véhicules en centre urbain.
Voyez le portrait complet de la situation qu’a dressé le journaliste Philippe Couture.