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Washington a décidé de durcir sa position en raison de la coupure de l'accès à l'internet en Iran, de la répression des discours et des violences infligées aux manifestants et aux civils par le gouvernement.
Les États-Unis ont imposé jeudi de nouvelles sanctions contre des responsables du gouvernement iranien en lien avec la mort de la jeune femme de 22 ans Mahsa Amini.
Le Bureau de contrôle des avoirs étrangers des États-Unis a annoncé qu'il ajoutait des sanctions économiques contre sept haut placés du gouvernement iranien, qui a été vivement contesté ces derniers temps pour des atteintes aux droits de la personne.
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Washington a décidé de durcir sa position en raison de la coupure de l'accès à l'internet en Iran, de la répression des discours et des violences infligées aux manifestants et aux civils par le gouvernement.
Les ministres iraniens de l'Intérieur et des Communications, ainsi que plusieurs responsables des forces de l'ordre, ont été visés par ces sanctions américaines.
De grandes manifestations ont éclaté dans tout l'Iran depuis que Mahsa Amini est décédée en garde à vue en septembre. La police de la moralité iranienne avait arrêté la jeune femme de 22 ans, parce que son foulard était apparemment trop lousse.
Pour démontrer leur opposition, de nombreuses femmes ont brûlé leur hijab lors de manifestations à grande échelle à travers le pays qui ont incité les forces de sécurité iraniennes à riposter avec une brutalité jamais vue depuis des années.
Selon le Comité pour la protection des journalistes, les autorités ont arrêté au moins 35 journalistes et photographes depuis le début des manifestations, le 17 septembre.