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Des événements comme ceux d'Amos ont fait réagir.
La situation véçu à Amos il y a 25 ans a eu un impact dans la préparation du monde scolaire à mieux se protéger en cas d'événement dangereux.
Le 1er décembre 1997, un élève entrait à la polyvalente la Forêt armé, prenant 30 personnes en otage et tirant un coup de feu, sans faire de blessé.
Il y a eu d'autres cas au Québec depuis, dont le triste événement de Dawson, en 2006, durant lequel une jeune femme a été tuée.
Le gouvernement a ensuite instauré la Loi Anastasia, interdisant la possession d'armes à feu dans les établissements d'enseignement et les garderies.
Les établissements ont aussi fait leur part, notamment avec la mise en place de simulation d'urgence.
«Comme un exercice d'alarme incendie, on vise la sensibilisation. On veut que ça devienne la même chose lors d'un confinement barricadé.
- La conseillère à la prévention en santé et sécurité du travail et aux mesures d'urgence au Centre de services scolaire Harricana, Lyne Trépanier