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Société

L'EPTS peut faire courir des risques aux réfugiés, selon une note fédérale

Ils craignent aussi que cela grève les ressources de la GRC puisque les migrants irréguliers seraient plus dispersés le long des 8900 kilomètres de la frontière séparant les États-Unis et le Canada.

En vertu de l'EPTS, chaque pays reconnaît l'autre comme un pays sûr pour ceux qui demandent asile.

Des fonctionnaires fédéraux avaient averti le printemps dernier le gouvernement canadien que les modifications à l'Entente sur les pays tiers sûrs (EPTS) stimuleraient les réseaux de passages clandestins et encourageraient les gens à courir plus de risques en tentant de franchir la frontière.