Début du contenu principal.
La compagnie est sous la protection de la loi.
Le syndicat des employés de l'usine d'Amos de Forex se ronge les ongles.
Elle compte se restructurer et pourrait aussi être vendue.
Le syndicat a obtenu l'assurance que l'usine allait demeurer ouverte pendant tout le processus.
De passage dans notre région, le directeur québécois du syndicat Unifor, Daniel Cloutier, a livré ces commentaires à Noovo Info:
«On ne peut pas dire qu'il n'y a pas d'inquiétudes. Forex, il y a moyen que ce soit rentable. Ça va nécessiter une certaine forme de réorganisation. Nous, on ne lance pas la serviette et la compagnie non plus.»
Les prix du bois sont en baisse et ça touche toute la chaîne, incluant les producteurs d'un peu partout en région qui vendent leur production à des usines comme Forex.