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Le service d'espionnage s'engage à examiner en profondeur les nouvelles technologies

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33d4e8904e4c7cfc59d90dfad846a580140cf5b8532e0a49b1d538a7a504567b.jpg Le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) s'engage à examiner et à améliorer en permanence son utilisation des nouvelles technologies, à la suite d'un rapport critique de l'organisme de surveillance de l'espionnage. Le directeur du SCRS, Daniel Rogers, arrive à une réunion sur la colline du Parlement, à Ottawa, le vendredi 13 juin 2025. (Sean Kilpatrick | La Presse canadienne)

Le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) s'engage à examiner et à améliorer en permanence son utilisation des nouvelles technologies, à la suite d'un rapport critique de l'organisme de surveillance de l'espionnage.

L'Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement (OSSNR) a expliqué dans un rapport rendu public cette semaine que le SCRS ne disposait pas de politiques et de procédures adéquates pour gérer une technologie confidentielle de collecte d'informations.

L'Office a indiqué que le service d'espionnage avait présenté à tort une nouvelle capacité technique comme une extension du savoir-faire existant.

Il a également affirmé que le SCRS avait utilisé cette technologie avant de satisfaire à toutes les exigences réglementaires.

Le SCRS a déclaré mercredi accepter certaines des conclusions et recommandations de l'organisme de surveillance, tout en étant en désaccord avec d'autres.

Le service d'espionnage a également dit reconnaître la nécessité de mettre en place des mécanismes robustes pour l'examen des technologies et la gestion des données qu'il collecte.