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Après la victoire de lundi dans Jean-Talon.
La victoire du Parti québécois dans Jean-Talon lundi ravive la flamme des péquistes.
Les sondages sont favorables depuis quelque temps, mais une victoire concrète et franche de Pascal Paradis donne espoir au parti partout au Québec.
C'est aussi le cas en Abitibi-Témiscamingue, où le parti a été rayé de la carte à l'élection de 2018 (deux caquistes et une solidaire) et à celle de 2022 (trois caquistes).
En 2014, François Gendron avait été élu en Abitibi-Ouest.
Il faut remonter à 2012 pour trouver un élu du PQ autre que François Gendron en Abitibi-Témiscamingue.
Bref, les péquistes ont soif et la victoire de lundi est prometteuse.
«Ça démontre tout le travail accompli par le Parti québécois et la façon de faire de la politique de Paul St-Pierre-Plamondon. On s'adresse à l'intelligence des gens et c'est ce qu'ils ont renvoyé comme signal. On est en train de devenir l'alternative à la CAQ. Il y a encore beaucoup de travail à faire, on ne s'emballe pas, on reste humble, mais cette victoire fait vraiment du bien.»