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Seule la réouverture de l'urgence de Senneterre est prévue à ce moment-ci
Le plan de contingence du CISSS de l'Abitibi-Témiscamingue se poursuit toujours.
Depuis septembre 2021, par manque de main-d'oeuvre, l'offre de services est impactée à certains endroits sur le territoire. Par exemple, en Abitibi-Ouest, le manque de personnel force la fermeture de 15 des 30 lits normalement disponibles.
Ce plan de contingence comprend également la réaffectation de travailleurs de la santé. Avec cet enjeu de main-d'oeuvre qui est toujours présent, l'organisation ne peut en ce moment planifier la réouverture de certains services comme ce sera le cas avec l'urgence de Senneterre le 7 mars.
Caroline Roy, PDG du CISSS de l'Abitibi-Témiscamingue, indique que «plusieurs initiatives sont en cours pour accentuer la formation de gens qui proviennent de l'Abitibi-Témiscamingue ou qui sont recrutés à l'extérieur.»
Elle ajoute que quelques arrivées d'infirmières internationales sont prévues alors «qu'elles complètent leurs formations actuellement en région.»
Mme Roy poursuit en souligant que «davantage arriveront à l'été ou en novembre prochain. Présentement, on n'est pas dans une capacité de pouvoir planifier une réouverture de certains services davantage que ce qu'on fait actuellement. »
La situation pandémique accentue la problématique puisque le CISSS de l'Abitibi-Témiscamingue se doit de déployer des employés dans les cliniques de vaccination.