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Le maire de Brampton, Patrick Brown, a été la cible d'une récente menace de mort qui a incité la police à lui fournir, ainsi qu'à sa famille, un service de service de sécurité.
Une source au fait de l'enquête a mentionné à CP24 que la menace avait été adressée par courriel au bureau du maire il y a deux ou trois semaines, et que sa femme et son fils étaient également mentionnés.
Ce texte est une traduction d'un article de CTV News.
«La réalité est que nous avons reçu et enquêtons sur une menace qui a été proférée non seulement contre le maire, mais aussi contre sa famille, et donc, en raison de la nature de cette menace, nous avons estimé qu'il était prudent, par excès de prudence, de lui adjoindre une sécurité policière», a déclaré le chef adjoint de la police régionale de Peel, Nick Milinovich.
La source a précisé que les mesures de sécurité autour de Brown et de son domicile ont duré deux semaines et qu'en raison de ce qu'elle a qualifié de «succès» de l'enquête, la police s'est retirée depuis.
M. Milinovich n'a pas révélé grand-chose sur l'enquête en cours, mais il a confirmé que la menace venait de l'intérieur du Canada. «Je pense que nous sommes sur le point de pouvoir donner des détails supplémentaires, mais les communiquer à ce stade pourrait compromettre l'enquête», a-t-il ajouté.
Dans une question complémentaire, M. Brown a mentionné qu'il ne voulait pas interférer avec l'enquête en cours, mais qu'il avait «une grande confiance» en la police de Peel.
«Je me sens en sécurité parce que nous avons une excellente force de police dans la région de Peel. Ce n'est pas la première fois que je reçois une menace de mort. Je l'ai été il y a plusieurs années. Je suis sûr que ce ne sera pas la dernière, et cela ne changera certainement pas mon approche», a-t-il lancé.
La police n'a pas précisé la raison pour laquelle M. Brown a pu être visé, mais la source a confirmé que la menace n'était pas liée au soutien qu'il a exprimé en faveur de la communauté tamoule.